Se faire comprendre par les autres usagers

Une intention mal comprise peut être fatale donc mieux vaut se faire comprendre des autres.

Il n’est pas rare que deux véhicules s’approchent trop l’un de l’autre.

Leurs conducteurs se sont peut-être vus à temps, mais n’ont pas clairement saisi leurs intentions respectives.

Il ne suffit pas d’avoir remarqué la présence d’un autre, faut-il avoir compris ce qu’il se propose de faire dans l’immédiat.

Bien des collisions sont dues à des malentendus, elles sont provoqués souvent eux-mêmes par une brève inattention.

Une mauvaise observation ou encore un comportement incompréhensible de l’un ou l’autre des intéressés.

Éviter ces malentendus les plus grossiers, le législateur a prescrit que tout véhicule doit être équipé d’indications de direction.

Il a prévu en outre une quantité de règles précisant de quelle manière les usagers doivent mutuellement se faire comprendre.

Pourtant cela ne suffit de loin pas à exclure tous les malentendus.

Ce n’est que si l’on s’habitue à savoir faire et à faire bien davantage que n’en demande la police, que l’on peut se prémunir contre des surprises.

Pour qu’un autre usager ne s’approche pas de trop près de votre véhicule, il est évidemment nécessaire que avant même d’avoir amorcé une manœuvre.

Vous fassiez tout d’abord usage à temps aux règles de vos dispositifs avertisseurs.

Puis que vous vous soyez assuré que  les autres usagers ont remarqué vos signaux et sont prêts à vous permettre d’effectuer la manœuvre envisagée.

Se faire comprendre par L’ABC du langage

Vous pouvez faire mieux encore pour que les autres comprennent sans ambiguïté vos intentions.

Il vous est possible de rendre parlants les mouvements de votre véhicule.

La façon dont vous dirigez votre voiture, dont vous décrivez votre trajectoire ou votre vitesse.

Il est dès lors nécessaire qu’elle soit parfaitement compréhensible.

Les clignoteurs de direction et les feux stop ne sont au fond que des dispositifs bien rudimentaires.

Indépendamment du fait que, suivant les conditions d’éclairage, ils sont parfois difficiles à distinguer.

Il arrive fréquemment qu’ils ne s’allument pas au moment le plus favorable.

C’est le cas, par exemple, des signaux stop qui ne fonctionne que lorsqu’on a déjà appuyé avec une certaine force sur la pédale.

Le conducteur défensif ne se fiera donc pas uniquement à ses appareils de signalisation.

Mais s’efforcera de comprendre auparavant déjà les intentions des autres, afin de prévoir quelles situations nouvelles qui vont se présenter.

Le conducteur défensif ne doit naturellement pas se permettre des mouvements inconsidérés comme de changer inutilement de voie.

La parole, les gestes et le rôle du langage

Les humains contrairement aux animaux sont capables de parler et d’écrire.

La possibilité d’utiliser le langage influence la plupart des apprentissages, c’est ce que nous allons examiner à présent.

Les animaux vivent dans un environnement d’objets, d’événements, qu’ils voient, entendent et sentent.

Ils peuvent par le mécanisme du conditionnement établir entre deux stimulations, deux événements une liaison telle qu’un événement devient le signe de l’autre.

Les êtres humains eux aussi vivent dans un environnement d’objets et d’événements, en plus, ils écoutent des paroles et ils lisent des textes écrits qui ont pour eux une signification.

Cet ensemble de sons (les paroles) et de tracés (l’écriture) constituent le rôle du langage.

Le langage est un ensemble de signes qui ont pour fonction d’indiquer n’importe quel objet et pour n’importe quel événement.

L’univers des choses et des mots, on pourrait dire que les hommes comme les animaux vivent dans un univers de choses et d’événements.

En même temps, ils vivent dans un deuxième univers, c’est celui des mots.

Il existe des rapports entre ces deux univers puisque les mots correspondent aux actes.

Il ne suffit pas non plus de pouvoir dire une action, une suite de mouvements pour être capable de l’exécuter.

Par exemple, quand nous avons expliqué à un élève conducteur comment faire un parcage en créneau, cet élève doit encore, pour le réussir correctement, faire des exercices, des essais et surtout des erreurs.

Avoir les mots dans l’oreille et sur la langue n’est pas la preuve qu’on a les gestes justes.

L’expérience pratique change la signification des mots, elle leur donne un contenu plus riche.

Il est évident que le mot “embrayer” par exemple, prend un sens nouveau pour l’élève au début des premières leçons de conduite.

Les mots n’indiquent pas seulement des objets ou des gestes, ils expriment aussi les relations entre les personnes.

Le moniteur de conduite peut exprimer sa satisfaction ou son mécontentement, il peut réprimander ou féliciter.

Modifiant donc par ses paroles l’ensemble des comportements de l’élève.

Utiliser efficacement le langage est moins facile qu’on le croit bien souvent.

Auto-école Marterey

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