Un moteur à combustion
Un moteur à combustion interne fonctionne en brûlant un mélange d’air et de carburant dans une chambre de combustion.
Ce mélange est allumé par une étincelle produite par la bougie d’allumage, ce qui provoque une explosion.
Cette explosion pousse un piston à l’intérieur du cylindre, faisant tourner le vilebrequin et créant ainsi de l’énergie mécanique.
Le mouvement du piston comprime le mélange d’air et de carburant, créant une pression qui est à l’origine de l’explosion.
Une compression peut être régulée en fonction de la vitesse du moteur et de la charge.
Le cycle de combustion est répété pour chaque piston, créant ainsi une puissance continue émise par le moteur.
Un moteur est également équipé d’un système de refroidissement.
Simplement pour éviter que les températures élevées de la combustion ne causent des dommages aux pièces du moteur.
Les nuisances sonores d’un moteur à combustion
Aussi la plupart des dommages environnementaux avec un moteur à combustion sont produits par la conduite.
L’évaluation de l’écomobiliste se base sur les émissions de CO2, les polluants atmosphériques et les nuisances sonores.
À savoir que ce système de notation des voitures à moteur à combustion utilisé par l’écomobiliste a été développé en énergie et en environnement.
Il a été remanié en profondeur et il est réactualisé en permanence.
Cela en fonction de l’évolution des connaissances scientifiques.
Le CO2 est le principal gaz à effet de serre, la forte utilisation d’énergie fossile fait augmenter ce taux dans l’atmosphère.
Il contribue ainsi au réchauffement climatique avec des conséquences dramatiques pour l’homme.
Du côté de la Suisse, ce sont les transports routiers qui en émettent le plus, soit près de 30% des émissions totales.
Or, la quantité de CO2 émis par une voiture dépend de sa consommation et du type de carburant.
Une personne sur sept, en Suisse, est exposée à des nuisances sonores graves ou dérangeantes.
Cette pollution sonore entraîne des réactions de stress et nuit à la santé mentale et physique.
Les voitures neuves présentent entre elles d’importantes différences sur le plan des émissions sonores.
Le passage des voitures avec locomoteur à combustion est perçu comme très bruyant.
L’impact des polluants aériens
Les polluants aériens produits par les locomoteurs à combustion provoquent des maladies graves.
Comme exemple, des maladies cardiovasculaires, des affections respiratoires et certains composants sont même cancérigènes.
Le trafic motorisé est responsable de plus de la moitié des émissions d’oxydes d’azote et d’un quart des particules fines.
Les modèles à essence et à gaz ont certes fait l’objet de remarquables améliorations techniques.
Lors des démarrages à froid, ils émettent toujours d’importantes quantités de polluants.
Certains nouveaux modèles doivent désormais respecter les valeurs limites sur route.
Les oxydes d’azote sont les polluants les plus nuisibles à l’environnement.
Tout comme l’anhydride sulfureux, ils provoquent une surfertilisation et une acidification des sols et des eaux.
Sous l’action du rayonnement solaire, ils se transforment en ozone de surface.
Ils sont ainsi les principaux reponsables du “smog estival”.
