Véhicule : l’avenir est électrique !

Du côté des véhicules, l’avenir est électrique nous assène-t-on, pour être moderne, il faut entonner le mantra de l’électrification.

Comme celui de la globalisation il y a dix ans, cet engouement pour l’électricité n’est pourtant pas sans susciter quelques interrogations parmi certains acteurs.

Ces acteurs qui sont chargés d’alimenter nos prises de courant.

Ils appartient à ce monde invisible et ignoré de l’électricité celui des gestionnaires de réseaux.

L’électricité représente vingt cinq pourcent de la consommation énergétique en Suisse.

Mais si elle alimente énormément de discussions, les problèmes ne concernent pas la production, ni même la fait de l’assurer mais bel et bien le réseau.

L’avenir est électrique avec un gestionnaire de réseau

Le gestionnaire du transport électrique suisse, constate que la construction d’une ligne à haute tension exige une trentaine d’années.

Un an est prévu pour la planification, deux ans pour l’exécution et vingt sept ans pour régler les litiges juridiques.

Aucun raccourci n’est envisageable.

Dès la pose du premier pylône, le recueil des signatures contre le projet démarre et les lignes souterraines ne constituent pas une solution.

Puisque la haute tension exige des tranchées aussi larges qu’une autoroute à deux voies.

L’impact sur l’environnement est bien plus néfaste que celui associé à quelques pylônes, le tout avec un coût plus de dix fois supérieur.

Augmentation à l’horizon du tarif aux bornes

En Suise, la circulation automobile n’est pas particulièrement intense.

Les tarifs très judicieux appliqués sur ses stations de recharges donnent une idée du prix à payer à l’avenir.

Rappelons de l’avenir est électrique !

Les véhicules électriques reviennent aussi cher que le diesel, dans la course à l’électrification, on a perdu de vue ce genre d’envolée tarifaire.

Qui ne manque pas de se généraliser tôt ou tard, et les gestionnaires de réseau veulent concevoir des grilles de prix.

Ils ne reposeront plus sur la quantité consommée mais sur le service fourni, la recharge rapide coûtera donc plus cher.

D’autant que l’infrastructure actuelle du réseau n’est pas conçue pour elle.

On estime l’investissement nécessaire par borne de recharge à environ vingt mille francs.

Uniquement pour convrir les coûts de câblages de plus gros diamètre ainsi que des organes de sécurité.

Du coup une borne de recharge va coûter plus cher qu’une place de parking souterrain.

Peut-être et sûrment que l’avenir est électrique, mais il ne sera certainement pas meilleur marché que le monde thermique actuel.

Il faudra franchir une étape aussi importante qu’onéreuse et en faire payer le prix au public.

Auto-école Marterey

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