La conduite sous la pluie

L’inconscience de certains automobilistes qui roulent à grande vitesse avec une conduite sous la pluie en prenant des risques est tout bonnement criminelle.

De nature trop agressive, inexpérimentés et ne sachant pas, ou ne voulant pas savoir, qu’ils sont, ils sont hélas encore trop nombreux.

Dès que la pluie commence à tomber, la chaussée devient en général extrêmement glissante.

L’eau, la fine poussière de caoutchouc des pneumatiques et la saleté se conjuguent pour former un film des plus traitres.

Les dangers hérents au temps de pluie sont la visibilité restreinte.

Mais aussi l’adhérence moindre, les chemins de freinage et d’arrêt plus longs et le tristement célèbre aquaplaning.

Où les roues avant glissant sur la surface humide du fait de la vitesse, rendent la voiture indirigeable.

Ce n’est pas pour rien qu’on répète sans cesse que la vitesse doit être fortement réduite sous la pluie.

L’expérience de la conduite de l’automobiliste

L’automobiliste d’expérience ne roule jamais trop très de son devancier.

En colonne et lorsque la voie de dépassement est bouchée, il demeure automatiquement à distance utile.

Théoriquement, la vitesse dite de sécurité est égale, en mètres, à la moitié de la vitesse pratiquée.

Autrement dit, elle devrait être de quarante mètres à huitante km/h.

Mais pratiquement, cette marge ne suffit pas aux allures élevées, où elle sera d’autant plus sûre qu’elle aura été calculée plus large.

Par ailleurs, le conducteur expérimenté roulant dans une colonne occupe une position légèrement décalée vers la gauche par rapport à celle de son devancier.

Pour juger autant que faire se peut de ce qui se passe en avant.

Si le rétroviseur lui apprend qu’il est suivi de trop très par un autre véhicule, il y met le holà par plusieurs effleurements successifs de la pédale de frein.

On sait qu’il existe des voitures plus sensibles que d’autres au vent latéral.

Le remède vient, doucement, par la voie de l’aérodynamique.

Mais il y a aussi la portance qui fait temporairement perdre du poids à la voiture lorsqu’elle roule très vite.

De telle sorte que l’engin, à la limite, peut-être soufflé par une rafale.

Le pilote qui sait “sentir” sa voiture aura déjà remarqué que la direction devient légèrement plus douce à grande vitesse.

Effet de la portance en augmentation, il sait donc éviter de rouler vite par grand vent.

Et il sait également que, pour une voiture sensible au vent latéral, les ponts et les trouées de forêt sont de véritable piège.

L’humain reste plus fiable que la technique

Les assistances au freinage d’urgence, les alertes de somnolence et autres aides techniques préviennet des situations délicats et évitent des accidents.

Mais ces systèmes peuvent aussi parfois présenter des failles.

La circulation sur nos routes est en constante augmentation, ne laissant que peu de place à l’inattention ou aux erreurs.

La complexité technologique croissante pose de nouveaux défis aux conducteurs de véhicules.

les assistances à la conduite semblent ainsi constituer une bonne solution et peuvent s’avérer utiles dans des situations critiques.

Mais cette débauche de technologies modernes peut également être source de risque.

Si les aides à la conduite fournissent trop d’informations, elles submergent le conducteur.

Le danger existe aussi que celui-ci qui se fie trop aux assistances et ne soit pas assez attentif au moment crucial.

Rester concentré sur la conduite ainsi que la circulation demeure donc primordial pour tout automobiliste.

Suggestion pour la conduite sous la pluie

Dommage que la conduite dite défensive, avec intégration calculée des erreurs des autres à sa propre manière de conduire et rouler, demeure encore encore trop bien ignorée.

D’avantage de respect des autres et de courtoisie.

Une conscience meilleure du danger et un signe amical de la main à l’adresse de piétons, en passe de traverser, transforment à tout coup l’atmosphère.

Essayez, si vous ne le faites déjà !

Ce sera peut-être l’encouragement à revenir à une humilité que la gent automobiliste a parfois un peu oubliée.

Auto-école Marterey

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