Comment agir en cas d’accident de la circulation ?
Dans la mesure du possible, agir en cas d’accident de la circulation, fera de vous un bon samaritain.
La loi sur la circulation routière, enjoint au conducteur d’un véhicule automobile de s’arrêter en cas d’accident.
Cette obligation lui incombe aussi si il n’est pas directement impliqué dans l’accident.
Mais si son comportement ou la présence de son véhicule ont pu jouer dans cet accident un rôle quelconque, si minime soit-il.
Le conducteur a pour devoir de prêter son assistance et de pourvoir au premiers secours.
En outre, il doit avertir la police par le biais d’un appel téléphonique.
Si l’accident n’a causé que des dégâts matériels, le conducteur est tenu d’informer immédiatement le lésé ou le poste de police le plus proche.
Agir en cas d’accident avec lésions corporelles
On doit porter immédiatement secours à la personne blessée et requérir un médecin.
Les blessés graves ne doivent autant que possible pas être transportés ou déplacés sans l’avis d’un médecin.
Afin de prévenir un vomissement ou autres, on couchera avec précaution le blessé sur le côté, la bouche dégagée.
Tous les véhicules impliqués dans un accident devront rester si possible à l’endroit.
À défaut on marquera l’emplacement sur la chaussée ou prendre plusieurs photos.
De même on retiendra tous les témoins de l’accident jusqu’à l’arrivée de la police et on notera leurs noms et adresses.
Les dommages causés à un tiers seront signalés aussi rapidement que possible à la compagnie d’assurance.
Des dégâts matériels lors de l’accident
On avisera immédiatement le lésé et si on ne peut l’atteindre, on doit en informer directement la police.
On notera tous les éléments qui permettront de déterminer les fautes commises, comme la position du véhicule sera repérée ou photographiée.
Lorsque la faute est expressément reconnue ou ne fait aucun doute, on cherchera à faciliter un arrangement à l’amiable.
Si toute proposition dans ce sens échoue, on recourra à la police.
Durant les premières années de conduite les conducteurs débutants de 18 à 24 ans sont impliqués en moyenne dans deux accidents.
Ils ont environ trois fois plus d’accidents que les autres conducteurs.
En ce qui concerne les accidents les plus graves, survenant la nuit pendant le week-end, les jeunes de ce groupe d’âge y sont associés cinq fois plus que la moyenne de la population.
Une utilisation plus fréquente du véhicule, le manque de routine et malheureusement souvent aussi l’exubérance.
Un accident est rarement provoqué intentionnellement.
Celui qui veut conduire prudemment adaptera constamment sa viresse aux conditions de la route.
Aussi selon le véhicule, à la situation du trafic et à son niveau de compétence, copier les as du volant peut avoir des conséquences désastreuses.
Les vieux renards ne donnent malheureusement pas toujours le bon exemple.
Le conducteur débutant aura avantage à choisir une vitesse adaptée à son expérience.
Se laisser dépasser, c’est faire preuve d’une plus grande sagesse dans sa conduite que d’appliquer la devise “ça passe ou ça casse”.
Et, la perte de temps réelle quand on conduit calmement est souvent bien plus faible qu’on ne croit.