Mieux prévenir que guérir : la santé mentale

La santé mentale sans prise de tête, c’est la question la plus compliquée et la plus intime.

Soigner le psychisme, c’est soigner son corps.

Nous avons pris la mauvaise habitude de nous occuper soit de la tête, soit du corps, ou oubliant que les deux fonctionnent en synergie.

Il est plus facile d’évoquer un rhume, un mal de dos, une tendinite, qu’une anxiété ou une dépression.

La honte et la stigmatisation qui y sont liées commencent enfin à s’estomper mais les statistiques parlent d’elles-mêmes.

Une personne sur deux serait touchée par un problème de santé mentale au moins une fois dans sa vie.

Nous réalisons, petit à petit, que nous avons toutes et tous une santé mentale et que son bon fonctionnement est aussi important.

Mieux vaut prévenir que guérir, comme pour le bien-être corporel.

La santé psychique s’entraîne et exige une attention particulière.

Comment savoir si nous sommes en bonne santé mentale ?

La santé psychique correspond à un état de bien-être mental qui nous permet d’affronter les sources de stress de la vie.

De réaliser notre potentiel, de bien apprendre et de bien travailler, et de contribuer à la vie de la communauté.

Elle fait partie intégrante de la santé et du bien-être, sur lesquels reposent nos capacités individuelles et collectives à prendre des décisions.

À nouer des relations et à bâtir le monde dans lequel nous vivons.

La santé mentale sur divers plans suite à des changements

Les changements peuvent être des tremplins ou des obstacles, influençant notre bien-être mental à des niveaux insoupçonnés.

Dans cette période de transition, il est essentiel de reconnaître que les fluctuations de notre état mental peuvent se manifester de manière subtile mais significative.

Un changement de routine, une nouvelle dynamique sociale ou même des événements marquants dans la vie peuvent engendrer de la confusion ou de l’anxiété.

Il est crucial d’accepter que ces ressentis font partie intégrante de notre parcours.

En développant une conscience de soi et en cultivant des stratégies de résilience, nous pouvons non seulement naviguer à travers ces bouleversements mais en sortir transformés.

La clé réside dans l’ouverture à nos émotions et dans la capacité à demander du soutien lorsque cela est nécessaire.

Établir des connexions authentiques avec les autres facilite cette démarche et permet de traverser les tempêtes intérieures avec plus de sérénité.

Ne rien faire est toujours faux, il faut agir au mieux

Dans les cours de premiers secours on enseigne qu’il faut s’inquiéter si des changements d’humeur ou de comportement s’ancrent dans la durée.

Il faut rendre la personne qui souffre attentive à ces changements par la communication et le dialogue.

La devise de ces cours reste que de ne rien faire est toujours faux, il faut agir !

Il y a toutefois quelques règles à respecter afin de soutenir la personne en difficulté psychique de manière adéquate.

Il est important d’écouter sans jugement, sans chercher à tout comprendre et conseiller à tout prix.

Avec des injonctions positives, la personne qui souffre aurait tendance à se comparer, à culpabiliser de ne pas y arriver.

Aussi à s’imposer une pression encore plus grande.

Ce n’est pas parce que l’on est jeune, que l’on a une bonne situation financière ou un super job.

On peut tomber malade et souffrir de dépression.

La santé du côté des jeunes adolescents

La santé mentale des jeunes adolescents est un enjeu crucial qui mérite toute notre attention.

Car à cet âge charnière, les émotions et les expériences façonnent leur identité et leur avenir.

Souvent confrontés à des pressions sociales et académiques accablantes, ces jeunes peuvent se sentir piégés dans un tourbillon d’incertitudes.

Où l’isolement et le sentiment de ne pas être compris peuvent aggravent leur détresse.

Encourager un environnement de confiance où ils peuvent exprimer librement leurs pensées et leurs émotions, sans craindre le jugement, est essentiel pour leur bien-être.

Il est vital de rappeler qu’il n’y a pas de honte à chercher de l’aide.

Car chaque pas vers la communication est un pas vers la guérison.

En agissant ensemble, nous pouvons briser le cycle du silence qui entoure la souffrance psychique et offrir un soutien véritable aux adolescents en difficulté.

Auto-école Marterey

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