La dynamique lors d’un cours en groupe
La dynamique lors d’un cours en groupe s’est animer et diriger la discussion de plusieurs personnes.
Entre les membres d’un groupe qui discutent, il se produit des tensions et des interactions difficiles à prévoir.
Ces phénomènes ont été étudiés par les psychologues, ils constituent ce qu’on appelle la dynamique des groupes.
Parce que le groupe est comparable à un espace où se développent des forces qui déterminent l’expression de sentiments et d’opinions.
Par cette même occasion, des oppositions ou de la sympathie.
L’animateur contrôle et oriente ces forces, il prévoit également l’évolution positive du groupe.
Il est lui-même impliqué dans les interactions, ce qui ne simplifie pas sa tâche.
Sans prétendre connaître toutes les subtilités de la dynamique lors d’un cours en groupe, on peut faire des progrès dans l’animation d’un cours collectif.
Cependant Il est simple de s’inspirer et se familiariser avec quelques règles empiriques.
La disposition des sièges lors d’un cours en groupe de personnes
La disposition des sièges des participants dans la salle est très importante.
Pour qu’ils puissent échanger des paroles, les participants doivent être assis de telle façon que chacun puisse voir tous les autres.
L’idéal, selon la disposition de la salle, il serait qu’ils soient assis en rond.
C’est difficile quand la discussion s’appuie sur des documents présentés sur un écran.
On peut alors faire un demi-cercle devant l’écran de télévision.
Dans ce cas, il faut aussi que la salle ne soit pas trop assombrie, car on doit voir sans difficultés les expressions des visages.
L’instructeur ou le moniteur doit exposer brièvement mais nettement le sujet de la discussion, pose des questions pour lancer le débat.
Le choix des questions et le choix des personnes auxquelles on les pose sont très importantes dès le départ du cours.
Au début au moins, on ne doit pas poser une question si on n’est pas certain que la réponse correcte sera donnée.
Si le participant interrogé ne sait pas répondre, il est vexé devant les autres et il devient soit passif, soit agressif.
Quand un participant donne une réponse erronée ou exprime une opinion fausse, le rôle de l’instructeur n’est pas de contredire.
Son rôle consiste à expliquer en quoi l’interlocuteur se trompe et expliquer le pourquoi.
Dans ce cas, il donne des informations complémentaires et montre que l’erreur était, en quelque sorte, normale.
Trouver la dynamique avec les timides et les bavards
Généralement, on trouve dans un groupe des timides qui ne parlent jamais et des bavards qui parlent trop.
Là aussi, le rôle de l’animateur est de faire s’exprimer les uns et d’empêcher les autres de monopoliser la discussion.
On peut faire taire le bavard qui veut briller devant le groupe.
On lui posera quelques questions difficiles, du coup, son ignorance le calmera.
Un tableau est souvent très utile pour conduire la discussion de groupe et ouvrir à la communication.
De ce faite, l’instructeur fait chercher aux participants les points importants du sujet et les écrit sur le tableau au fur et à mesure qu’ils sont découverts.
Par exemple, on demande quels sont les risques du dépassement ?
Les réponses sont notées au tableau en discutant leur importance, les cas où ils se présentent.
Ensuite, on traite de la même façon les précautions à prendre avant, pendant et après le dépassement.
Le sujet se construit ainsi devant les élèves et avec les matériaux qu’ils ont eux-mêmes fournis.
Un instructeur avec ces participants lors de l’enseignement
Au lieu de dire: Le maître et les élèves, on prend l’habitude de dire: L’instructeur et les participants.
Ce changement des mots correspond à une évolution de la pédagogie.
On reconnaît maintenant de plus en plus souvent et plus clairement que celui qui veut apprendre.
L’instructeur qui enseigne est d’autant plus efficace qu’il est capable de stimuler chacun et d’animer correctement lors d’un cours en groupe.
