Rester seul pour manœuvrer votre véhicule

Plus le trafic est régulier moins il cache de dangers, rester seul pour manoeuvrer est moins génants pour les autres usagers.

Aussi longtemps que tous les véhicules sont immobiles, il n’y a pratiquement aucun danger.

En revanche, c’est au moment où tous les véhicules se déplacent, de manière brusque, qu’il est le plus grand.

L’écoulement régulier de la circulation ne se produit, hélas, que très rarement, sauf parfois peut-être sur les autoroutes.

Le conducteur se voit contraint de modifier à tout instant sa vitesse et sa direction pour les adapter aux circonstances,

Il doit freiner, obliquer, accélérer, virer, en un mot, il ne peut échapper à l’obligation de manœuvrer.

Mettre en péril la sécurité du trafic pour manoeuvrer

Dès qu’on se trouve pas seul sur la chaussée, toute seule manœuvre peut mettre en péril la sécurité du trafic.

Parce que d’autres usagers peuvent s’en trouver gênés et qu’il n’est pas facile de prédire s’ils sauront ou voudront s’y adapter.

Le conducteur défensif ne doit jamais oublier que:

Les manœuvres effectuées en présence d’autres usagers présentent toujours plus de danger que celles qu’on exécute en solitaire.

On devrait donc toujours tenter de s’organiser de manière à éviter les manœuvres où peuvent être impliqués d’autres usagers.

Il y a d’ordinaire deux possibilités pour cela:

Attendre jusqu’à ce que l’autre soit parti ou bien se hâter afin qu’aucun autre ne puisse devenir un partenaire.

C’est entre ces deux possibilités que l’on doit faire un choix suivant les conditions du moment.

Aussi faisant appel à son imagination pour tenter de comprendre comment va évaluer la situation.

On se trompe souvent au moment de démarrer

Lorsqu’on s’apprête à quitter un emplacement de stationnement, on croit souvent pouvoir opérer une manœuvre solitaire.

On estime mal la vitesse des autres véhicules et l’on est surpris de les voir tout à coup tout près de soi.

Une minime erreur d’appréciation peut avoir des conséquence ne collision grave, on se trompe sur l’importance de la place nécessaire.

Le moteur encore froid ne développe pas toute la puisse désirable ou la boîte de vitesses occasionne des difficultés.

Si l’on a pas la certitude absolue que la manœuvre prévue va réussir, on ne la tentera que lorsqu’un espace réel se produira.

Seul pour manoeuvrer et obéir strictement aux signaux

Aux débouchés pourvus d’un signal “STOP”, les erreurs d’appréciation sont très fréquentes.

Si la visibilité y est suffisante, ce qui est d’ailleurs souhaitable, on peut se faire une idée des chances d’y découvrir un “trou” dans la file des voitures.

Permettant de s’intégrer au trafic ou de traverser le carrefour.

On met parfois de s’arrêter au signal ou l’on n’y marque qu’un arrêt trop bref pour se précipiter ensuite.

Dans un cas comme dans l’autre on risque fort une collision.

Contre un tel danger il n’y a qu’un moyen de protection vraiment efficace:

Prendre l’habitude de ne décider de continuer sa route que lorsque son véhicule est complétement arrêté devant la ligne de stop !

Ce n’est qu’à ce moment-là que l’on dispose d’assez de temps pour se faire une image précise de la densité et de la nature du trafic.

Auto-école Marterey

Rester seul pour manœuvrer

Le cours de samaritain est à payer dans un délai maximum de 5 jours auprès de l’organisateur. La date de l'inscription faisant foi. Paiement par E-Banking, E-Finance ou TWINT.

Rester seul pour manœuvrer

Le cours de sensibilisation est à payer dans un délai maximum de 5 jours auprès de l’organisateur. La date de l'inscription faisant foi. Paiement par E-Banking, E-Finance ou TWINT.

Rester seul pour manœuvrer

Rester seul pour manœuvrer

Rester seul pour manœuvrer