Les seniors derrière un volant
Les seniors qui souhaitent s’assoir au volant doivent se soumettre à un examen médical tous les deux ans dès l’âge de 75 ans.
Cependant, l’âge peut influencer bien plus tôt sur l’aptitude à la conduite.
La mission est de les inciter à ne pas attendre pour aborder le sujet.
Les seniors sont plus susceptibles d’avoir un accident grave, ils sont plus vulnérables en raison de leur âge.
Et par manque de pratique, s’exposent à un risque d’accident plus élevé par kilomètre parcouru.
Il est important qu’ils procèdent eux-mêmes régulièrement à une vérification minutieuse de leur aptitude à la conduite.
Les défis et les solutions pour les seniors au volant
Plusieurs thèmes sont abordées, comme la vue, la santé ou les médicaments.
Les médecins de famille ont aussi un rôle essentil à jour quand il s’agit d’évaluer l’aptitude à la conduite.
Que ce soit avec le test officiel dès 75 ans ou en dehors de ce cadre, les auto-évaluations peuvent servir de base de discussion.
Il est important de parler de l’aptitude à la conduite.
Car la plupart des gens ne sont pas pleinement conscients du processus insidieux de vieillissement et de ses conséquences.
Également on s’aperçoit qu’ils commencent à ne plus rouler la nuit ou à ne plus emprunter l’autoroute.
Pour analyser l’aptitude à la conduite, il faut adopté une démarche structurée.
Celle-ci doit être conforme au formulaire de l’Office de la circulation routière.
Le test de la vue, l’équilibre ainsi que la forme physique, mais souvent, ce qui fait pencher la balance est à lire entre les lignes.
Le rôle des proches avec les seniors
Les proches jouent un rôle important lorqu’il s’agit d’atteindre cette tranche d’âge.
Fréquemment, les seniors ne rendent leur permis de conduire que sur pression de leur entourage.
La plupart d’entre eux sont raisonnables et suivent les conseils de médecin et de personne de confiance.
La population senior est de plus en plus active sur les routes.
Avec une meilleure santé et une plus grande mobilité, de nombreuses personnes âgées choisissent de conduire pour rester indépendantes.
Cependant, la sécurité au volant devient une préoccupation majeure pour les seniors et leurs proches.
Quels sont les défis auxquels ils sont confrontés et comment peuvent-ils rester en sécurité sur la route ?
- Avec l’âge, la vision et l’ouïe peuvent diminuer, ce qui peut rendre la conduite plus dangereuse
- Les réflexes diminuent avec l’âge, ce qui peut affecter la capacité à réagir rapidement dans les situations de circulation
- De nombreuses personnes âgées souffrent de maladies chroniques qui peuvent affecter leur capacité à conduire en toute sécurité
- Certains médicaments prescrits peuvent avoir des effets secondaires, tels que la somnolence, qui peuvent affecter la conduite
Qu’est-ce qu’un check-up ?
C’est un bilan général de santé effectué sur une personne qui, en principe, n’est pas malade.
Dans le but de dépister une maladie à un stade très developpé, qui rend facile à soigner.
Celui-ci permet en effet de mesurer la moindre des manifestations de maladie.
Aussi d’évaluer les antécédents personnels, familiaux et de prescrire alors des examens plus personnalisés.
En fait, il vaut mieux consulter rapidement pour certains symptômes, même apparemment minimes ou banals.
Comme une modification inexpliquée de l’appétit, du poids, de la vue ou l’audition, plutôt que de multiplier régulièrement les bilans.
- Il est important qu’ils subissent des examens médicaux réguliers pour s’assurer qu’ils sont en bonne santé
- Des adaptations simples à la voiture, telles que des rétroviseurs spéciaux et des aides à la vision, peuvent aider les seniors à conduire plus confortablement
- Des cours de conduite peuvent les aider à améliorer leurs compétences et à rester informées des dernières règles de circulation
- Les seniors doivent être conscients des effets secondaires potentiels de leurs médicaments sur la conduite
Chez les seniors il est recommandé d’être bien suivi et régulièrement par son médecin de famille.
Dans un même ordre d’idée, la prévention la plus efficace consiste à adapter son mode de vie et son comportement en évitant certains risques.
En particulier le tabac, une mauvaise alimentation, l’alcool, plutôt que de courrir après des bilans qui se révéleraient néfastes.
