La motivation des élèves conducteurs
La motivation des élèves conducteurs est un rôle indispensable.
Cette motivation est comparable à l’énergie qui fait fonctionner un moteur.
La motivation des élèves conducteurs ne sont pas toujours excellentes.
Elles seraient sans doute meilleures s’il était convaincu que ce qu’il apprend à l’auto-école lui permettra de faire par la suite des économies.
Également de conduire avec plus d’agrément et d’éviter des ennuis.
Des opinions qui affaiblissent la motivation des élèves
L’élève conducteur a trop souvent des attitudes et des opinions qui influencent défavorablement ses motivations, en voici quelques-unes:
- l’élève pense qu’on apprend vraiment à conduire seulement après avoir été reçu au permis
- considérant réussir à l’examen comme avoir de la chance à la loterie
- croire que l’examen comporte des pièges pour faire échouer les candidats
- il ne fait pas la différence entre déplacer une voiture et conduire dans la circulation, ce qui est tout autre chose
- les accidents et les contraventions est considéré comme les conséquences de la fatalité
- conduire lui apparait comme un droit dont chacun devrait profiter sans avoir rien à faire pour le mériter
- il ne voit pas d’intérêt à apprendre à bien conduire et cherche seulement à obtenir le permis rapidement et à moindres frais
Quelles sont les causes de ces opinions ?
Ces opinions affaiblissent la motivation et il importe donc de les faire abandonner par les élèves conducteurs.
Ce n’est pas facile parce qu’elles ne sont pas tout à fait sans fondement.
Ainsi elles correspondent à certaines réalités ou bien elles procurent certaines satisfactions.
Il est vrai qu’on apprend encore après avoir obtenu son permis conduire.
Mais ce que l’élève conducteur ignore, c’est qu’on apprend après le permis d’autant plus et d’autant mieux qu’on a fait un bon apprentissage.
Accuser cet examen et les inspecteurs de tous les défauts est une façon commode pour se consoler à l’avance d’un éventuel échec.
L’élève est influencé parce qu’il a entendu des discutions par ses amis et par ses parents.
Or l’idée que les autres se fait de l’auto-école ou de l’examen du permis de conduire n’est pas toujours favorable.
Elle correspond à des réalités qui n’ont malheureusement pas encore complètement disparu.
Elle ne tient pas encore compte des améliorations qui ont été réalités depuis quelques années.
Conseils pour la conduite de nuit étant des élèves conducteurs
Pour conduire la nuit, il faut dans un premier temps rester éveillé.
Lorsque vous ressentez des signes de fatigues comme les paupières lourdes ou des raidissements.
Il faut nécessairement prendre une pause et faire une sieste de 20 minutes si possible.
Pour être donc vigilent, vous pouvez adopter un regard mobile, écouter de la radio ou communiquer avec les passagers.
Dans un second temps, quand vous croisez d’autres conducteurs et vous perdez la visibilité suite à leurs phares.
Il faut diriger votre regard dans la direction de la chaussée du bas-côté droit.
Habituez-vous à supporter un discret éclairage de votre tableau de bord ou éclairez-le fréquemment.
La nuit, il faut surveiller votre compteur.
Par contre, prévenez vos passagers de ne jamais allumer le plafonnier en marche, si faible qu’il soit, son éclat se reflète dans le pare-brise.
Placez les dormeurs à l’arrière, le sommeil est contagieux et votre voisin de banquette peut aussi se réveiller brusquemment.
L’expérience venue, vous constaterez souvent que, la nuit, une vitesse horaire de 10 à 5 kilomètres inférieure à votre allure du jour vous fait réaliser aussi une bonne moyenne.
