Un infarctus cérébral

Un infarctus cérébral, 8 fois sur 10, c’est parce qu’une artère du cerveau est bouchée par un caillot.

Les médecins parlent d’infarctus (terme désignant la nécrose d’un tissu) cérébral.

Plus l’artère bouchée est grosse plus l’étendue de l’infarctus cérébral est grande.

L’objectif est alors d’injecter un médicament thrombolytique, une sorte de “Destop” pour les artères.

Celui-ci va désagréger le caillot ou bien de l’extraire mécaniquement en passant par l’intérieur des artères.

On pourrait croire que la soudaineté des symptômes tant décrite rend l’infarctus cérébral imprévisible.

Dans 25 % des cas, des symptômes de l’AVC apparaissent de façon fugace.

La durée est de 5, 10 à 15 minutes, dans les heures ou les jours qui précèdent l’AVC puis disparaissent.

On parle alors d’AIT pour accident ischémique transitoire.

Dès lors le caillot qui a causé les symptômes s’est désintégré tout seul, ainsi l’artère s’est débouchée.

La personne est donc revenue spontanément à son état normal.

Mais ces symptômes doivent être traités avec la même urgence prioritaire.

Car le risque d’AVC est extrêmement élevé dans les heures ou les jours qui suivent.

L’AIT agit comme la fumée du volcan avant son éruption.

Cela annonce la catastrophe suivante, c’est-à-dire le véritable AVC.

L’hemorragie cérébral – un accident rare mais critique

L’AVC peut donc être causé par une artère du cerveau qui se bouche.

Mais aussi moins fréquemment quand une artère se rompt, on parle alors d’hémorragie cérébrale.

Elle survient quand la rupture ou le déchirement d’une petite artère entraîne un saignement dans le cerveau.

L’importance du saignement conditionne la gravité de I’AVC.

Et l’intervention qui, là encore, doit se faire le plus rapidement possible consiste dans certains cas.

Une injection d’un traitement hémostatique visant à stopper l’hémorrgie.

Dans de très rares cas, le saignement intervient dans l’enveloppe du cerveau.

Une poche de sang qui s’était créée à la surface d’une artère, un peu comme une hernie sur un pneu de vélo, s’est rompue.

Elle se manifeste par le mal de tête le plus violent qui soit, l’urgence est alors de colmater la brèche.

Le test AVC ou un infarctus cérébral – les consignes

Face à une potentielle victime AVC, il faut lui demander de maintenir les bras tendus à l’horizontale et lever les jambes alternativement.

Prononcer une ou des phrases cohérentes.

De même , vérifier si elle voit sur les côtés en gardant le regard fixé devant elle.

Si elle n’est pas capable de réaliser une de ces consignes, elle peut être victime d’un infarctus cérébral.

Appeler sans tarder les services d’urgences.

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