Se déplacer dans le trafic

Se déplacer dans le trafic tout en roulant en parfaite harmonie avec les autres usagers de la route est tout un art.

Circuler ensemble, vous le maîtriserez dès que vous serez en mesure d’adapter votre déplacement à celui des autres usagers.

Cette condition est remplie quand ceux-ci indiquent clairement aux autres où ils veulent aller.

Et qu’en même temps, ils savent reconnaître les intentions des autres partenaires.

Il est alors possible d’effectuer à la bonne vitesse et au bon moment des manœuvres.

Des situations pour se déplacer dans le trafic

  • croiser d’autres voitures quand la place est restreinte
  • dépasser une voiture à l’arrêt ou plus lente
  • traverser un carrefour au bon moment
  • changer avec fluidité de voie dans un fort trafic

Naturellement, pour maîtriser ces manœuvres impliquant d’autres usagers de la route, la simple connaissance des dispositions légales ne suffit pas.

Il faut bien comprendre la portée des manœuvres effectuées et leurs différences.

Élargir votre champ de vision dans la circulation

Projeter son regard aussi loin que possible ne signifie pas qu’il faille le concentrer sur une zone précise.

La vision doit demeurer périphérique.

Tous les dangers potentiels et les mouvements à observer ne sont pas regroupés sur la route parcourue.

C’est dans son environnement que jouent des enfants, s’ébattent des animaux en liberté.

Également sur la gauche et sur la droite de ce ruban que débouchent d’autres routes et éventuels véhicules.

Dès lors, observer la route et ses abords ou admirer un panorama depuis le sommet d’une montagne revient au même.

C’est-à-dire que les yeux doivent saisir un ensemble large et profond.

Ce qui n’interdit pas de “zoomer” comme on le ferait avec un appareil photographique sur un point précis.

A condition de pas trop s’y attarder au détriment de la vue d’ensemble.

Protection du trafic urbain et l’environnement

Protection de l’environnement, signalements d’embouteillage ou planification des transports dans les villes et les agglomérations.

La mobilité est assurément au coeur de l’actualité et les progrès techniques nourrissent aussi notre rêve.

Celui de nous rendre bientôt au travail avec une voiture électrique entièrement autonome.

Mais encore commandée par une application et sans permis de conduire évidemment.

Aujourd’hui, en plus de se rendre à la gare à pied, à vélo ou en transport public, on peut aussi y aller avec un vélo.

Une trottinette électrique à soi en libre-service pour faire les courses, le vélo-cargo est de plus en plus prisé.

En plus de la voiture individuelle ou en autopartage, on a le choix entre des modes de transport varies.

Dans nos villes, les véhicules classiques se partagent l’espace public avec les nouveaux moyens de locomotion.

Des start-up et entreprises innovantes alimentent cette tendance en proposant sans cesse des solutions.

Le secteur économique de la mobilité croît, tout comme notre population.

Conséquence de ce changement profond, le trafic augmente et se complexifie.

Face à ces multiples formes de mobilité, les surfaces de circulation actuelles ne suffisent plus pour se déplacer dans le trafic.

Aisni étant limitées de part et d’autre par des bâtiments, les routes ne peuvent pas etre élargies.

Réseau urbain est divisé en deux catégories

Les routes principales pour le trafic de transit et les routes de quartier.

Toutefois les habitations se situent non seulement dans les quartiers mais aussi le long de routes très frequentées.

D’où se trouvent des magasins, des entreprises et des restaurants qui engendrent un accroissement du trafic.

Les routes de transit sont plus conçues pour repondre aux besoins du trafic individuel motorisé et des transports publics.

Qu’à ceux des habitants, et ne sont donc pas adaptées à la mobilité actuelle et future.

L’accidentalité en localité reflète cette inadéquation.

Si les accidents du trafic individuel motorisé diminuent, ils stagnent, voire augmentent, chez les personnes qui se déplacent à pied.

Rien que sur les tronçons routiers limités à 50 km/h, 1900 usagers de la route subissent des blessures graves.

Chaque année et 80 autres perdent la vie, la plupart de ces personnes se déplaçaient à pied, à moto ou a vélo au moment de l’accident.

Auto-école Marterey

Se déplacer dans le trafic

Le cours de samaritain est à payer dans un délai maximum de 5 jours auprès de l’organisateur. La date de l'inscription faisant foi. Paiement par E-Banking, E-Finance ou TWINT.

Se déplacer dans le trafic

Le cours de sensibilisation est à payer dans un délai maximum de 5 jours auprès de l’organisateur. La date de l'inscription faisant foi. Paiement par E-Banking, E-Finance ou TWINT.

Se déplacer dans le trafic

Se déplacer dans le trafic

Se déplacer dans le trafic