Éviter d’encombrer le passage
Chaque fois que l’on se trouve sur le passage d’autres usagers, on court le risque d’être heurté et d’encombrer le passage.
Et ce n’est pas vrai seulement si on occupe le milieu de la voie qu’ils empruntent.
Cependant aussi quand on ne fait que “mordre” un peu.
Ce second cas est souvent même plus dangereux, parce qu’on a peut-être échappé à la vue de ceux qui arrivent.
Dès l’école de conduite on devrait savoir que l’on ne doit pas gêner les autres qui circulent correctement sur la route.
Mais quand cette entrave est-elle ou non évitable ?
Selon leur disposition de caractère, les conducteurs considèrent la situation de façon totalement différente.
Comme dans certains cas, il est effectivement très difficile de juger quand la gêne peut être évitée.
Aider ceux qui attendent pour éviter d’encombrer
Voilà une bonne occasion de faire de la place, sans que cela soit prescrit s’offre aux débouchés de rues.
Cela en attendant de pouvoir s’intégrer au trafic.
L’automobiliste qui attend depuis un certain temps peut devenir dangereux.
A bout de patience, il s’énerve et se décide subitement, sans plus réfléchir.
On doit s’efforcer de se montrer prévenant à son endroit.
Déjà en ralentissant tout simplement l’allure de manière à ménager un espace dans la file où il pourra s’intégrer.
Durant le trafic de pointe, il se forme souvent au croisement avec une route non prioritaire de longues colonnes qui occupent les deux chaussées.
Il convient de recommander ici le système “de la fermeture à glissière”.
Une voiture de chaque colonne entre tour à tour dans le trafic.
On reconnait le conducteur défensif non seulement à la correction de son comportement aussi au soin avec lequel il choisit les emplacements où il s’arrête.
Simplement pour y trouver une place de stationnement, par exemple.
Le passage aux coins des rues sans visibilité
L’insuffisance des emplacements de parc incite souvent à enfreindre la règle prescrivant qu’on ne doit pas immobiliser son véhicule.
Ne cédez donc jamais à cette tentation.
A savoir qu’une distance de cinq mètres doit absolument rester libre !
De manière que les conducteurs qui doivent passer d’une rue à l’autre par ce coin-là, puissent se rendre compte de ce qui s’y passe.
Afin de ne pas être contraints de s’arrêter avant d’emprunter la voie suivante.
La personne qui entrepose son véhicule trop près d’un angle de rue peut, en cas d’accident, être considérée comme partiellement responsable.
Sous prétexte d’avoir compromis la visibilité.
D’ailleurs, à cause du danger de collision que présent les intersections de rues, le conducteur évite d’y parquer son véhicule.
Uniquement déjà pour lui épargner les risques de dommage.
A ce propos, précisions que la distance légale de cinq mètres ne représente réellement qu’un minimum !
