Mon automobile
Le terme, mon automobile, un peu simple pour désigner une telle merveille d’ingéniosité.
Aussi peu significatif d’ailleurs que “voiture” ou “véhicule”.
Il nous faut d’abord, bien que nous nous occupions de conduite et non de technique.
Considérer cet objet à trois ou quatres roues équipe d’un moteur essence ou diesel.
Pourvu de sièges et d’une direction qui l’affranchit de la tutelle des rails.
Plutôt enfin bien habillé d’une caisse plus ou moins élégante en tôle, percée de fenêtres.
S’il est nécessaire de nous occuper de notre véhicule, c’est que, pour étudier comme nous le désirions une conduite plus élaborée.
Il importe que l’automobile soit adaptée à celui qui la pilote donc à mon automobile.
C’est-à-dire que son caractère répondent aux aptitudes du conducteur.
On voit fréquemment des automobilistes qui se font transporter sans plaisir par leur voiture.
Parce que lorsqu’ils l’ont achetée, ils se sont laissé éblouir par un détail quelconque sans se rendre compte.
Alors qu’ils ne seraient jamais capables ensuite de la maîtriser.
Le choix lors de l’acquisition de ma voiture
Celle qu’on choisit doit toujours être d’un niveau inférieur ou supérieur à celui qui la conduit.
L’automobiliste doit toujours rester le maître de son véhicule.
Si il jette son dévolu sur une auto dont la puissance, la vitesse ou la tenue de route outrepassent ses capacités de conduire.
Il sera tôt ou tard confronté à des difficultés qui peuvent lui être fatales.
Nous conseillons donc vivement de ne pas traiter à la légère l’acquisition d’une voiture.
Mais de juger d’abord la situation avec sang-froid et de demander à une connaissance ou un ami expérimenté en la matière.
De dire si il estime qu’on possède les qualités permettant de piloter correctement et sans danger.
Quelle est la bonne formule à retenir ?
Ne jamais acheter une automobile dont on n’est pas certain qu’on pourra très rapidement la conduire en toute sécurité.
L’automobile dans la circulation routière
La conduite automobile aborde des problèmes nombreux et importants de la circulation routière.
Pourtant en exposant les problèmes d’une façon plus approfondie, nous nous sortirions du cadre que nous nous sommes fixé.
Notre but est seulement de montrer qu’on commettrait une grave erreur en croyant qu’on peut traiter des activités et chercher à les améliorer.
Simplement, sans s’inquiéter aussi des conditions dans lesquelles elles sont exercées.
Ils n’auraient pas d’autre préoccupation qu’enseigner et où les élèves auraient pour seule intention d’apprendre.
Aucune école n’est dans cette situation idéale et l’auto-école encore moins que toute autre.
Les maîtres et les élèves sont toujours influencés par les conditions économiques, les structures administratives, l’opinion publique.
Et par tout un ensemble de facteurs qui pèsent sur les relations entre les maîtres et leurs élèves.
