La sécurité routière en Suisse

La sécurité routière est un enjeu majeur en Suisse, où des milliers d’accidents de la circulation se produisent chaque année.

Il est donc crucial de sensibiliser la population à l’importance de la prévention et du respect des règles de sécurité sur la route.

Nous allons aborder les principales mesures mises en place en Suisse pour améliorer la sécurité routière.

Ainsi que les bonnes pratiques à adopter pour réduire les risques d’accidents.

La Suisse a mis en place un certain nombre de mesures visant à garantir la sécurité sur les routes.

Parmi celles-ci, on peut citer des limitations de vitesse strictes.

Des campagnes de sensibilisation, des contrôles routiers réguliers, ainsi que des infrastructures adaptées à une circulation plus sûre.

De plus, de nombreux programmes de formation à la sécurité routière sont proposés aux conducteurs, aux cyclistes et aux piétons.

Afin de promouvoir une meilleure cohabitation sur les routes.

Des principales causes d’accidents sur les routes suisses

Pour réduire le nombre d’accidents, il est indispensable que chaque individu prenne ses responsabilités au sérieux.

Les automobilistes doivent respecter les limitations de vitesse, les règles de priorité, ainsi que les distances de sécurité.

De même, les piétons et les cyclistes doivent être attentifs et respecter les règles de circulation pour éviter tout type de conflit.

L’usage du téléphone portable au volant est également fortement déconseillé.

Car il constitue l’une des principales causes d’accidents sur les routes suisses.

En outre, il est essentiel d’adopter des comportements responsables en matière de consommation d’alcool et de stupéfiants.

La conduite en état d’ivresse est strictement interdite en Suisse et est passible de sanctions pénales sévères.

De plus, les conducteurs doivent veiller à porter leur ceinture de sécurité, et les passagers doivent être correctement attachés.

Qu’ils se trouvent à l’avant ou à l’arrière du véhicule.

Enfin, la sécurité routière ne concerne pas uniquement les comportements individuels mais aussi l’entretien des véhicules.

Les automobilistes doivent veiller à maintenir en bon état leur véhicule.

Tout en effectuant régulièrement les révisions et en remplaçant les pièces défectueuses.

Soyer bon garçon en matière de conduite

Un automobiliste a déjà bien de la peine à faire marcher comme il faut sa propre voiture.

Cependant certains prétendent, en plus, gouverner les autres conducteurs sur la sécurité.

L’un se met à klaxonner avec rage parce qu’un collègue l’a serré en le doublant.

Un autre se lance à la poursuite du chauffeur qui a failli l’accrocher au carrefour.

Un troisième se plante au milieu de la chaussée pour bien montrer à celui qui vient en face qu’il ne tient pas sa droite.

Et tout cela en pure perte, car, à moins qu’il ne les solicite, aucun conducteur n’aime à recevoir de leçons de ses confrères et n’en tient guère compte.

Il y a aussi l’entête qui se sait dans son droit et ne veut pas en démordre.

Il ferait entrer un quinze-tonnes et sa remorque dans une boutique plutôt que de leur céder pour une fois la priorité.

Sur la route, il frôle exprès le cycliste qui ne s’est pas rangé assez vite.

Un conducteur commence-t-il à doubler la voiture qu’il va lui-même croiser.

Il est capable de foncer malgré tout, risquant sa vie et celle de ses passagers.

Simplement pour prouver à l’autre qu’il y commis une erreur.

Opter pour un trajet court et bien préparer son départ

Un jeune conducteur se doit de s’entraîner sur des trajectoires relativement courtes.

Il ne doit en aucun cas prendre un long trajet ou circuit pendant sa première mise en circulation.

Vous n’avez pas encore cette capacité de parcourir pendant plusieurs heures un circuit qui mélange à la fois autoroutes et voies nationales.

Vous avez besoin de vous détendre et de vous familiariser avec les circuits que vous maîtrisez déjà.

Préparez donc votre voyage en étudiant au préalable votre trajet et prévoyez des pauses si nécessaire.

Auto-école Marterey

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Le cours de samaritain est à payer dans un délai maximum de 5 jours auprès de l’organisateur. La date de l'inscription faisant foi. Paiement par E-Banking, E-Finance ou TWINT.

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