Parler de la perception

Parler de la perception c’est donc parler de la sensation qui est une impression provoquée par des organes sensoriels.

Prendre conscience à travers les sensations, des objets extérieurs et de leurs qualités.

Cela nous amène donc à parler du système nerveux.

En remontant la série des vertébrés, on constate une importance croissance du système nerveux.

La prépondérance humaine est d’ailleurs due à un développement particulier de l’encéphale qui nous donne la suprématie.

Tout ce qui nous parvient du monde extérieur nous arrive par photons et autres quantas d’énergie qui frappent l’un ou l’autre de nos organes sensoriels.

En physique, particule élémentaire de masse négligeable, constitutive de toute énergie radiante.

C’est ce que nous appelons un stimulus.

Le stimulus est une notion objective qui peut être mesurée.

Parler de la perception avec notre système nerveux

Les stimuli sont enregistrés et transformés par notre système nerveux et deviennent des notions subjectives: Les sensations.

Notre monde extérieur est donc une création de notre esprit.

Cette première constatation nous permet déjà d’envisager que chacun perçoit et vit différemment.

Dès lors, et à chaque instant, les sensations arrivent à notre cerveau par des fibres afférentes et en partent par des fibres efférentes.

Mais encore, il y a environ un million de ces fibres dans notre cerveau.

L’activité de ce réseau est très grande, puisque, chaque cellule envoie au cerveau, dix fois par seconde, des nouvelles du monde extérieur.

Ainsi, certaines de ces cellules avertissent quand il se passe quelque chose.

Également, d’autres avertissent quand il ne se passe rien.

C’est ainsi que certaines cellules de l’œil annoncent au centre nerveux l’obscurité totale !

On compte environ quatorze milliards de neurones ou cellules nerveuses dans le cerveau humain.

Le système nerveux est donc en contact avec les organes des sens qui sont les postes d’observation.

Ceux-ci avertissent de ce qui se passe à l’extérieur (sensation allogène) ou à l’intérieur (sensation endogène).

Les neurones et le souvenir pour la conduite

Cette cellule est plus ou moins ramifiée, polarisée et possède un cylindre axe, le long duquel s’écoulera l’influx nerveux.

L’influx nerveux s’écoule toujours dans le sens dendrite, cellule, cylindre axe, jusqu’au synapse qui est le point de jonction.

Le passage du synapse se fait chimiquement, ce qui explique l’importance du métabolisme pour la conduite d’un véhicule.

Un conducteur ne se comporte pas de la même manière le matin de bonne heure ou après un bon repas.

Probablement, le souvenir consiste en un réseau de plusieurs cellules, entre lesquelles le circuit se refait facilement.

Une même cellule peut être impliquée dans plusieurs réseaux.

Apprendre à conduire, c’est aussi créer de nouveaux réseaux neurologiques

Cette activité entraîne une fatigue avec laquelle il faut compter au cours de l’apprentissage de la conduite.

De plus, il ne faut oublier que l’être humain possède un nombre déterminé de cellules nerveuses à sa naissance.

Et qu’elles ne se renouvellent pas, contrairement aux autre cellules.

Cela implique que l’âge peut influencer les perceptions sensorielles.

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