La puissance du véhicule

Celui qui désire retirer le plus possible de la puissance du véhicule, et tient à une sécurité maximale, ne peut obtenir un résultat de la puissance valable.

Également, si il ne possède pas quelques connaissances techniques.

Il doit notamment être familiarisé avec certaines données qui caractérisent la puissance et la force du moteur.

Car il est bien évident qu’il doit négliger tout véhicule dont la puissance est insuffisante, sans toutefois tomber dans l’excès contraire.

Les voitures trop faibles, celles dont le rapport poids/puissance (poids total divisé par le nombre de cheveux effectifs), atteint ou dépasse vingt kilo/ch, par exemple.

Ceux-ci peuvent présenter des dangers au moment d’un dépassement.

La translation du poids et l’aide à la direction par la pédale des gaz étant à peine suffisantes.

Le rapport poids / puissance de votre automobile

Leur manque de puissance, en côte surtout, suscite plus d’énervement et d’impatience que de plaisir.

Pareillement, il faut se garder aussi farouchement d’un excès de puissance.

Les automobiles dont le rapport poids/puissance ne dépasse pas 10 ou même 8 kg/ch exigent déjà de leur conducteur une bonne dose de talent.

Simplement pour ne pas lui faire courir de risque.

Plus le rapport poids/puissance est bas, plus on dispose de réserves de force.

Elles présentent certes un avantage quand le pilote sait les mettre correctement à profit.

Mais qui peuvent trop souvent provoquer un décrochement des roues si un coup de gaz trop violent compromet soudain la force de guidage latéral des pneus.

Un acheteur potentiel d’une voiture doit aussi s’intéresser à sa puissance spécifique.

C’est-à-dire au nombre de chevaux-vapeur que le constructeur est parvenu à tirer de chaque litre de cylindrée du moteur.

Plus ce chiffre est élevé, plus effort imposé au moteur est grand.

Et plus aussi les risques d’usure et de défauts de fonctionnement seront importantes.

La puissance du véhicule selon les types de moteur

Les moteurs des voitures particulières se répartissent principalement, selon leur mode de fonctionnement.

Il existe des moteurs à deux temps ou à quatre temps.

Du fait que le moteur à deux temps ne possède d’ordinaire pas de soupapes, son prix de revient est relativement meilleur marché.

C’est la raison pour laquelle il jouit d’une certaine préférence pour les véhicules économiques, tels que scooters et motos légères.

Du côté du moteur à quatre temps, il est d’une construction sensiblement plus compliqué.

Mais il tire mieux profit de l’énergie contenue dans le carburant et surtout pour la puissance du véhicule.

Aussi, à l’exception de quelques marques seulement, est-il d’un usage presque exclusif dans l’automobile moderne.

On peut aussi différencier les moteurs d’après le carburant qu’ils consomment et parler de moteurs à essence.

Il existe d’autres façons de différencier entre eux les moteurs.

En prenant pour base de comparaison le nombre ou la disposition de leurs cylindres, leur système de refroidissement, la position des soupapes.

Ou bien encore, selon leur emplacement dans le véhicule, à l’avant ou à l’arrière.

Au cours de ces dernières années, différents constructeurs de moteurs ont travaillé intensément au développement de nouveaux moteurs.

Auto-école Marterey

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