La dynamique de la circulation

La dynamique de la circulation est enseignée et exercée tout au long de la formation à la conduite.

C’est pourquoi les situations particulières et combinaisons de circonstances liées au trafic doivent être identifiées suffisamment tôt.

La capacité de l’élève à se tenir prêt à freiner et à repérer rapidement les dangers doit être développée de façon adaptée.

Une vitesse adéquate pour un véhicule donné, résulte avant tout du type de véhicule.

De même que de son chargement et de la hauteur du centre de gravité.

Tout particulièrement dans les virages sur les routes avec un revêtement de mauvaise qualité ou naturel.

Aussi en cas de pluie, de neige ou durant la nuit.

Il convient d’en tenir compte, en roulant plus lentement et en accélérant et décélérant en douceur.

Le choix de la vitesse adéquate de la circulation

Les élèves doivent choisir la vitesse correcte suffisamment tôt avant d’atteindre un point critique, par exemple une pente ou une bifurcation.

En effet, c’est la seule façon de consacrer pleinement leur attention à ce point critique en temps utile.

Le choix du rapport dépend principalement de la vitesse de conduite.

Permettant, dans les circonstances données (route, visibilité, météo), une conduite sûre et conforme à la loi du véhicule.

L’évaluation de l’état de la route à une grande importance

  • type de revêtement
  • quantité d’eau
  • présence de neige

Que ce soit pour le freinage ordinaire ou pour le freinage d’urgence.

Dès lors, seule une évaluation correcte, de la dymnique de la circulation et de l’état de la route permet un freinage optimal.

La dynamique de la circulation avec le freinage d’urgence

Le freinage ordinaire est un ralentissement du véhicule dans les situations prévisibles.

Autrement dit, la pédale des freins étant d’abord pressée avec la force nécessaire.

Puis vers la fin du freinage avec une force dégressive.

Concernant le freinage d’urgence, il est un ralentissement optimal du véhicule dans les situations de danger inopinées.

Tout en maintenant dans la mesure du possible une stabilité directionnelle suffisante.

Dès le début, il faut appuyer sur la pédale d’un coup et de toutes ses forces.

Dans le but d’atteindre au plus vite un ralentissement maximal.

Les conditions météorologiques défavorables telles que le brouillard, la neige ou l’obscurité doivent être intégrées à l’enseignement de la conduite en situation.

L’aide apportée est adaptée au stade de formation des élèves.

Si la route est couverte de neige lors de la troisième leçon, il est judicieux d’intégrer à l’enseignement le comportement de conduite et du freinage.

C’est-à-dire que l’élève doit pouvoir évaluer les risques et dangers de la conduite sur la neige et exercer un comportement adapté.

Des exercices introductifs (diriger, freiner, accélérer) sur une place ou une route peu fréquentée sont alors utiles.

Les moniteurs doivent aider les élèves à évaluer les risques et à développer des modes de comportement corrects.

Auto-école Marterey

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