Vivre avec le danger

Suite à un accident de la circulation, comment vivre avec le danger des proches trajets.

D’innombrables automobilistes impliqués dans un accident de la route sont ensuite livrés à un acte de contrition et posé la question:

Comment ai-je pu être assez stupide afin d’éviter la collision ?

Ces conducteurs sont accablées part le sort parce qu’ils ne se sont pas souciés auparavant de l’éventualité d’un accident.

Ce sont aussi souvent des gens qui prétendent non sans vanité qu’ils conduisent correctement.

Avec réflexion et qu’il ne peut donc rien leur arriver.

Lorsque, après un accident, on en analyse les causes et le déroulement.

On constate presque toujours qu’il aurait pu être évité ou seulement limiter les tôles froissées.

Cette remarque est vraie aussi bien pour les accidents “fabriqués” par soi-même, que pour ceux dans lesquels sont impliquées plusieurs voitures.

Les possibilités de sauvetage s’offraient aussi bien aux conducteurs fautif qui a causé l’accident qu’à celui qui ne l’est pas.

Il est très rare qu’on ait recours à ces mesures et c’est d’autant plus regrettable que bien des victimes seraient encore en vie.

Ce qui signifie qu’ils admettraient que chacun peut être impliqué dans un accident.

De même qu’ils seraient prêts à réfléchir sérieusement, à toutes les situations périlleuses.

Vivre avec le danger lors d’un accident de la route

Un automobile circule sur une route relativement étroite et s’approche d’un virage à droite sans visibilité.

Il occupe le milieu de la chaussée, parce qu’il a contemplé le paysage et voulu voir assez loin dans la courbe.

Soudain apparaît devant un fourgon qui coupe complètement le virage.

Les deux conducteurs prennent peur et freinent brusquement !

Leurs véhicules ne peuvent plus être dirigés et se heurtent de front au milieu de la chaussée.

Examinant par la suite les lieux, le conducteur constate que, à gauche, dans le virage, débouche un chemin vicinal dans lequel il aurait pu se lancer sans danger.

Les véhicules se serait peut-être touchés, mais pas frontalement.

Or, pourquoi n’a-t-il pas utilisé cette possibilité de fuite ?

Parce qu’il était effrayé et que, ne s’étant pas familiarisé et n’ayant pas envisagé les possibilités d’accident.

Si, lors de ses randonnées en voiture, au moment de franchir un virage, il s’était posé la question de savoir ce qu’il faudrait faire dans le cas où un véhicule surgirait devant lui.

Il n’aurait pas cédé à une réaction de terreur, qui a plus contribué à provoquer l’accident qu’à l’éviter.

La nuit tous les chats sont gris

Le risque d’accident mortel est deux fois plus élevé de nuit et au crépuscule que durant la journée.

En particulier les jeunes conducteurs sont souvent sur les routes la nuit.

L’obscurité augmente déjà les risques.

La fatigue, l’alcool puis l’euphorie qui suit une fête ou une soirée dans une discothèque.

Ainsi que l’envie de rentrer à la maison au plus vite, constituent un danger supplémentaire.

Les rues que l’on croit désertes sont trompeuses.

Les accidents individuels ou impliquant des piétons dans les virages sont particulièrement nombreux.

La situation est encore plus critique la nuit, en cas de pluie.

En conséquence, les risques d’accident sont alors près de dix fois supérieurs à ce qu’ils seraient le jour, par route sèche.

Dès lors, les accidents les plus fréquents sont en général les collisions entre véhicules et piétons.

Une bonne visibilité est d’une importance primordiale puisque l’acuité visuelle est sensiblement réduite en raison de l’obscurité et du manque de contrastes.

Après chaque éblouissement, l’œil a besoin d’environ trois secondes pour pouvoir voir à nouveau suffisamment.

En outre, il est beaucoup plus difficile d’évaluer les distances la nuit.

Auto-école Marterey

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