Comment bien conduire un véhicule
Mais comment bien conduire aujourd’hui dans la circulation routière.
Nous avons seulement indiqué quelques unes des questions posées par l’élaboration de la progression d’apprentissage.
Peut-on enseigner l’essentiel de la conduite sûre en suivant pas à pas une progression ?
Cette façon de faire convient sans doute au début de la formation, quand l’élève apprend à manipuler le véhicule.
Pour l’enseignement des comportements dans la circulation, les difficultés sont plus grandes.
Les résultats d’une analyse systématique de la conduite en termes d’opérations et de conditions apporteraient peut-être une aide au moniteur.
Individualiser l’enseignement pour mieux conduire
La diversité des élèves de l’auto-école impose une individualisation de l’enseignement.
Donc une connaissance attentive de chaque élève.
De ce faite, il est risqué de se fier à la première impression.
Être vraiment psychologue consiste à savoir se poser des questions au sujet de chacun.
La tâche essentielle de l’auto-école est de former les jeunes.
Ceux-ci ont des capacités et des attitudes dont l’enseignement doit tenir compte et presque la moitié des élèves sont des conductrices.
Les préjugés concernant les conductrices au volant sont en voie de disparition.
Contrairement à ce qu’on dit encore aujourd’hui, les conductrices ne sont pas foncièrement émotives et pourraient comprendre la mécanique.
Bien entendu, il faut les y intéresser.
Rebondir après un échec à l’examen pratique
Vous avez passé de longues semaines à préparer votre examen de permis de conduire.
Mais finalement, le résultat a été décevant.
Ce n’est jamais facile d’échouer, quel que soit le domaine.
Cependant, il faut se relever et ne pas surtout perdre confiance en vous.
Il sera question d’aborder des conseils pour se relever suite à l’échec.
Ensuite, vous allez vous préparer de la bonne manière pour enfin décrocher ce permis qui vous manque.
La profession du moniteur de conduite et le caractère
Les différences de profession et de milieu social sont très importantes.
Les élèves apprécient qu’on ait quelques idées concernant leurs préoccupations professionnelles.
Les distinctions traditionnellement faites entre les “manuels” et les “intellectuels” ne correspondent plus aux réalités.
Cependant, il importe de tenir compte de l’influence des habitudes professionnelles sur le comportement des élèves.
Les personnes étrangères, même s’ils semblent bien comprendre la langue française, ont bien souvent des difficultés.
Également, les différences de caractère ne sont pas aussi tranchées et permanentes qu’on le dit souvent.
Quelques cas peuvent poser des problèmes, par exemple, les “anxieux” ou le “nerveux”.
Par l’observation et avec l’expérience, chaque moniteur distinguera des catégories d’élèves dont les comportements au cours des leçons présentent des ressemblances.
Pour conclure cet article, n’oublions pas que les malades (rhume, toux, maux de tête) se fatiguent vite au volant.
Et les handicapés moteurs sont généralement très motivés, ce qui leur permet de vaincre leurs difficultés de tous les jours.
